L’immobilier montréalais reste beaucoup plus abordable que celui d’autres villes canadiennes telles que Toronto ou Vancouver. Le taux d’urbanisation est en constante hausse, la demande pour l’achat de logement est de plus en plus importante et l’aménagement urbain est plein développement. La ville de Montréal attire tout aussi bien des étrangers (principalement européens) que des canadiens provenant d’autres provinces.
Investir dans l’immobilier locatif
Investir dans l’immobilier locatif montréalais peut s’avérer être une très bonne idée puisque 44 % de la population sont des locataires, la demande y est donc très forte. De plus, le taux de non-occupation des logements en location est très faible : il atteint à peine les 1,7 %.
Quel type de logement ?
Les logements dont la valeur est sous-évaluée peuvent se révéler être de vraies mines d’or car vous pourrez en tirer un retour sur investissement très conséquent.
Les logements proches des transports en commun ou équipés d’un garage sont également très prisés par les montréalais ; il sera donc plus facile pour vous de les louer. Une autre possibilité serait de cibler les quartiers à la mode ou ceux possédant un fort taux de locataires puisque la demande y est très forte.
Dans quel quartier ?
Les quartiers montréalais dont le taux de croissance prévu est le plus élevé d’ici les prochaines années sont les quartiers de Rosemont-la Petite Patrie ainsi que les quartiers du sud-ouest de Montréal.
Rosemont est moins cher que les autres quartiers qui l’entourent, la demande y est donc très importante. Les quartiers du sud-ouest ont un taux d’occupation très élevé puisqu’ils sont proches du centre-ville ainsi que du quartier des affaires.
Les avantages d’un achat au Canada
Les prix canadiens sont très abordables tout en étant en constante croissance chaque année. Acheter un logement au Canada se révèle très avantageux puisque le dollar canadien est actuellement très faible par rapport à l’euro. De plus, même si les taux d’emprunt sont similaires à ceux constatés en France (autour de 3 %), les frais de notaires y sont en revanche beaucoup plus faibles : seulement 1 000 à 1 500 € contre environ 7 % du prix du logement en France. Par ailleurs, il existe une convention fiscale entre la France et le Canada vous évitant une double imposition.
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